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Lignes temporelles multiples
(informations couvrant une ou plusieurs lignes temporelles)

Le terme coque désignait l'enveloppe ou l'armature d'un vaisseau. La coque des vaisseaux se déplaçant à vitesse de distorsion devait être capable de supporter des contraintes extrêmes. De manière caractéristique, la coque des vaisseaux de Starfleet était divisée en deux sections : le module soucoupe et le module de propulsion.

Les vaisseaux Borgs possédaient une technologie capable de régénérer automatiquement leur coque. (TNG: "Q Who")

Matériaux[]

Améliorations de coque[]

  • Générateur ablatif
  • Armure ablative
  • Armure dispersive
  • Monotanium armor plating[à traduire]
  • Parametallic hull plating[à traduire]
  • Revêtement de coque polarisé
  • Armure réactive
  • Trellium-D

Intégrité structurelle[]

L’intégrité structurelle était une expression utilisée par les ingénieurs pour décrire la résistance de la coque.

Afin de supporter les contraintes considérables imposées par les champs de distorsion et autres phénomènes spatiaux, les ingénieurs de la Fédération et des autres peuples spatio-pérégrins ont développé une technologie de champs d'intégrité structurelle permettant de renforcer la structure des vaisseaux à l'aide de champs de force.

En 2063, Data informa le capitaine Jean-Luc Picard que malgré l'attaque d'une sphère Borg, l'intégrité structurelle du Phoenix n'avait pas souffert. Plus tard, tandis que le vaisseau se préparait à passer en distorsion, Geordi La Forge confirma à Zefram Cochrane que l'intégrité structurelle du Phoenix tenait bon. ("Star Trek: First Contact")

En 2151, Malcolm Reed et Charles Tucker repolarisèrent les plaques de gravité de l'Enterprise NX-01 afin d'absorber le recul plasmique généré par les nouveaux canons phasiques et en diffuser l'énergie sur l'intégrité structurelle. (ENT: "Silent Enemy")

Les contraintes générées par un rayon tracteur romulien provoquèrent des déformations sous-microscopiques dans l'intégrité structurelle de la navette de type 15 Onizuka, en particulier au niveau du nez de l'appareil et du propulseur de poupe. (TNG: "The Mind's Eye")

En 2369, Geordi La Forge examina l'intégrité structurelle d'un conduit situé dans la baie de chargement 4 de l'USS Enterprise (NCC-1701-D). (TNG: "Schisms")

En 2369 encore, l'équipage de Deep Space 9 parvint à stabiliser l'intégrité structurelle du vaisseau de Tosk en utilisant le rayon tracteur. (DS9: "Captive Pursuit")

En 2372, lorsque l'USS Voyager (NCC-74656) tenta de rattraper la navette Cochrane en transdistorsion, son intégrité structurelle commença à faiblir après quelques minutes passées en distorsion 9,97. (VOY: "Threshold")

En 2374, le capitaine Kathryn Janeway ordonna à Chakotay de renforcer l'intégrité structurelle d'une navette afin de pouvoir l'utiliser pour se débarrasser de particules Omega. (VOY: "The Omega Directive")

Contraintes[]

Dans certaines conditions, la coque d'une station ou d'un vaisseau pouvait subir d'importantes contraintes. Ceci pouvait être dû à des forces gravitationnelles ou à la pression exercée par un fluide ou un autre objet. Passé un certain seuil, la coque pouvait ne pas résister. On parlait alors de "brèche".

En 2371, l'USS Voyager (NCC-74656) se retrouva pris dans une singularité quantique où son équipage découvrit ce qu'il pensa être un autre vaisseau, prisonnier de la singularité. Quand Voyager tenta de verrouiller un rayon tracteur dessus, la singularité commença à attirer le vaisseau. Voyageur tenta d'échapper à l'attraction en poussant ses moteurs à impulsion à plein régime mais, le rayon tracteur étant toujours actif, ceci provoqua un stress important de la coque. (VOY: "Parallax")

Microfractures[]

Une microfracture était une fissure microscopique dans la coque d'un vaisseau. Bien qu'impossible à discerner à l'œil nu, elle pouvait, avec le temps ou sous l'effet d'une contrainte importante, s'élargir et entrainer des conséquences graves.

L'intégrité structurelle d'un matériau était fragilisée par l'existence de microfractures. Ceci pouvait être très dangereux, voire fatal, si la détérioration se produisait à un instant critique ou sur un élément vital de la structure du vaisseau. Toutefois, sous certaines conditions, une quantité modérée de microfractures pouvait être toléré. (VOY: "Extreme Risk")

Certaines microfractures pouvaient être scellées (temporairement ou définitivement) par un ingénieur qualifié. D'autres, en revanche, nécessitaient la reconstruction ou le remplacement de la structure. (ENT: "Desert Crossing"; VOY: "Caretaker")

Prévention[]

Le champ d'intégrité structurelle d'un vaisseau pouvait protéger la coque contre les microfractures, ou tout au moins éviter qu'elles ne s'aggravent. (VOY: "Extreme Risk")

Le trellium, tout comme le hull plating[à traduire] des vaisseaux du 22ème siècle, offrait une protection contre les conditions pouvant générer des microfractures. (ENT: "Anomaly", "Exile")

Il était possible de compenser les microfractures d'une matrice de dilithium afin d'éviter des complications avec les moteurs à distorsion. (VOY: "Twisted")

Une analyse métallurgique permettait de détecter les microfractures. (TNG: "Phantasms")

Causes[]

En 2153, alors qu'il approchait d'une deuxième Sphère dans l'Etandue Delphique, les anomalies gravitationnelles provoquèrent des microfractures sur la coque de l'Enterprise NX-01. (ENT: "Exile")

Des microfractures pouvaient être causées par des tensions mécaniques ou par une corrosion du matériau due à des conditions environnementales. (TNG: "Rascals")

En 2371, la displacement wave[à traduire] du Pourvoyeur qui amena l'USS Voyager (NCC-74656) depuis les badlands jusque dans le Quadrant Delta provoqua des microfractures dans le réacteur de distorsion du vaisseau. (VOY: "Caretaker")

Les alliages de duranium étaient vulnérables à certains parasites qui consommaient le métal. Le duranium ainsi fragilisé, des microfractures pouvaient se former sous des conditions que l'alliage aurait normalement dû tolérer. (VOY: "The Disease")

Les radiations thêtas pouvaient dégrader les matériaux de coques, et engendrer des microfractures même dans des conditions normales. (VOY: "Extreme Risk")

Les distorsions gravimétriques provoquaient des contraintes importantes qui pouvaient entraîner des microfractures et, si le vaisseau ne s'en éloignait pas rapidement, des brèches dans la coque. (ENT: "Exile"; VOY: "The Fight")

Les impulsions de protons engendraient des contraintes énormes sur les coques et pouvaient provoquer jusqu'à plusieurs centaines de microfractures. (VOY: "Deadlock")

Des tensions extrêmes, proches du niveau critique, pouvaient créer des microfractures sur la matrice de dilithium. (VOY: "Twisted")

Des microfractures se formaient avec le temps dans les nacelles de distorsion, s'accumulant jusqu'à ce que des réparations soient nécessaires. (VOY: "Nightingale")

Effets[]

Les microfractures, si elles n'étaient pas réparées, pouvaient s'agrandir et devenir des brèches. (VOY: "Deadlock")

Des pertes d'énergie pouvaient être dues à des microfractures dans les conduits à plasma. (ENT: "In a Mirror, Darkly, Part II")

En 2369, la navette Fermi fut détruite lorsqu'une anomalie énergétique détériora sa coque au point que des microfractures se formèrent. De même, la même année, un conduit à plasma du projet de fontaine à particules de Tyrus VIIa explosa à cause d'une microfracture non-détectée. (TNG: "Rascals", "The Quality of Life")

En 2375, un saboteur déstabilisa le champ de distorsion du vaisseau générationnel Varro en utilisant des parasites synthétiques pour créer des microfractures. (VOY: "The Disease")

Brèches[]

USS Enterprise-B hull breach

Brèches dans la coque de l'USS Enterprise (NCC-1701-B)

Le terme brèche faisait référence à une faille dans l'environnement pressurisé d'un vaisseau, d'une station ou d'une installation. Elle pouvait avoir de nombreuses causes. Sur un vaisseau spatial, une brèche dans la coque avait la plupart du temps des conséquences catastrophiques. Si la brèche apparaissait de façon brutale, il pouvait s'ensuivre une décompression explosive qui provoquait des avaries supplémentaires et risquait de blesser ou tuer les formes de vies présentes. (TNG: "The Naked Now"; VOY: "Deadlock")

La majorité des brèches entrainaient la perte d'une atmosphère pressurisée s'échappant dans le vide ou un environnement à basse pression. Cependant, il était tout à fait possible que le vaisseau se retrouve environné par des gas ou même des liquides sous haute pression, ce qui pouvait provoquer une implosion et la pénétration de ces gas ou liquides dans le vaisseau. Ainsi, en 2372, l'USS Defiant (NX-74205) subit plusieurs brèches alors qu'il était piégé dans l'atmosphère d'une géante gazeuse. (DS9: "Starship Down")

Les vaisseaux construits par les civilisation spatiopérégrine, comme ceux de la Fédération, se protégeaient des contraintes énormes imposées par le vide, les impacts, les champs de distorsion, les armes, les phénomènes énergétiques et autres anomalies spatiales en renforçant leur coque à l'aide de champs d'intégrité structurelle. Ce champ de force était conçu pour occuper le même espace que la coque du vaisseau, multipliant sa résistance. En cas de brèche de la coque, des champs de force étaient également érigé pour contenir l'atmosphère et empêcher l'environnement extérieur de pénétrer dans le vaisseau. (TNG: "Disaster"; "Star Trek: Generations"; "Star Trek: Nemesis")

Avant que ces technologies ne soient développées, des sas d'urgences et un revêtement de coque polarisé étaient utilisés pour éviter les brèches. (ENT: "Damage")

Brèches notables[]

Bulkhead hull breach

Brèche dans un sas de DS9 en 2369

Voir aussi[]

  • Champ d'intégrité structurelle
  • Sub-micron fracture[à traduire]

Coulisses[]

Les causes de ces incidents sont expliquées dans plusieurs épisodes.

Liens externes[]

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